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Application of RFID to prevention business

Application of RFID to prevention business

Historique ?

Le terme « RFID », acronyme de l’expression anglo-saxonne Radiofrequency Identification - l’identification radiofréquences - est un terme générique qui désigne un vaste ensemble d’applications pour l’identi- fication d’« objets » au sens large, au moyen d’une communication par ondes radio, c’est-à-dire « sans fil ». Tout porteur d’un marqueur (personnes, objets, végétaux, etc.) est a priori identifiable et le terme « RF » couvre tous les types de liaisons « sans fil » ou « sans contact » réalisées à l’aide d’ondes électromagnétiques.

Les systèmes RFID ne sont pas nou- veaux dans leur principe. La notion de RFID (identification par ondes radio) date de la seconde guerre mondiale et son développement est tout d’abord lié à celui de la radio et du radar. Pour vérifier si les avions circulant dans l’espace britannique étaient amis ou ennemis, les alliés pla- çaient dans leurs avions des balises capables de répondre aux demandes d’identification émanant des radars. Ce système de contrôle, appelé IFF (Identify Friend or Foe), reste aujourd’hui en usage tant dans l’aviation civile que militaire.

Principe de Fonctionnement

Le principe de la RFID repose sur l’échange d’informations entre un « interrogateur » et un « transpondeur » (cf. Figure 1). Le champ électromagnétique généré par l’interrogateur sert de vecteur de communication entre lui et le transpondeur.

principe fonctionnement de la rfid

Le transpondeur

Il doit son nom à ses fonctions d’émission et de réception (TRANSmitter/ rePONDER). Il comprend une puce, dotée d’une mémoire, reliée à une antenne, pour transmettre les données stockées dans sa mémoire à l’interrogateur. Le plus souvent, le transpondeur, également appelé TAG ou Etiquette. architecture d'un transpondeur ou tag

L’interrogateur

Egalement appelé lecteur ou « base station », l’interrogateur émet par l’inter- médiaire d’une antenne des ondes radio dans un espace pouvant varier de quelques centimètres à plusieurs dizaines de mètres dans le but d’activer tout trans- pondeur se trouvant dans son champ d’action. Une fois le tag activé, un dialogue entre l’interrogateur et le transpondeur peut alors s’établir. L’interrogateur peut être indifféremment fixe ou mobile et présente, dans la majorité des cas, une interface de contrôle, filaire ou non, per- mettant de transmettre les informations recueillies à un système dit « hôte » qui peut être un simple ordinateur ou un serveur rendant ainsi accessible le conte- nu de la base de données qu’il intègre. On parle alors d’infrastructure RFID étendue.